Par le biais de ses traductions adaptatives, Antonin Artaud se cherche au miroir de l’autre, tout en s’attaquant au corps organisé de l’oeuvre et de la langue. D’une part, il s’efforce de faire (re)surgir l’affect, de (re)trouver le souffle, le rythme, la voix, la lettre, enfouis sous la langue-instrument, la langue-machine, artificielle, inexpressive et démotivée. D’autre part, afin de faire barrage à la jouissance intrusive de l’Autre, il épure, parodie et parasite l’oeuvre-source, et en particulier le style de l’auteur ou du traducteur de référence. Il ne faudrait pourtant pas reléguer la traduction, chez Artaud, comme une activité secondaire, ni la considérer uniqueme...
Pratique traductive claudélienne Les traductions d’Eschyle, des psaumes, et des poètes anglophones L...
En écrivant Les Belles Infidèles il y a plus de soixante ans, Georges Mounin a voulu proposer, selon...
La traduction comme problème Comment s’enseigne la traduction littéraire à l’université – traduction...
La présente thèse a pour objet de porter un regard traductologique sur l’œuvre protéiforme d’Antonin...
La tentation généralisée de réduire la traduction au linguistique se réduit le plus souvent ...
ARTESS et la traduction Pour nous, la traduction est affaire de dialogue. Dialogue interrompu, souve...
« Traduire, n’est-ce pas réinventer la langue dans laquelle on traduit ? » a écrit tout récemment G...
« Traduire, n’est-ce pas réinventer la langue dans laquelle on traduit ? » a écrit tout récemment G...
Un certain consensus parmi les chercheurs fait remonter les débuts de la traductologie «scientifique...
Traduire c'est écrire mais c'est aussi vendre. En utilisant trois mémoires d'autrices anglophones pr...
Un grand traducteur brésilien‚ José Paulo Pães‚ considérait dès les années 1990 dans un ouvrage inti...
Où s’arrête un commentaire de traduction ? Un étudiant présentait hier un exposé dans un de mes cour...
La traduction vers une langue étrangère occupe une place un peu particulière dans le domaine de la t...
Le roman de François Bégaudeau Entre les murs (2006) nous a paru à bien des égards e...
Comment penser le Moi dans l’œuvre d’Artaud, lorsque l’on connaît l’allure disparate de ses textes ?...
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