Cellular calcium uptake in the action of prostaglandins on renal water excretion

Cellular calcium uptake in the action of prostaglandins on renal water excretion. The role of cellular calcium uptake in the antidiuretic response to vasopressin was studied in anesthetized dogs undergoing water diuresis. In prostaglandin (PG) intact animals, an intrarenal infusion of verapamil caused only a modest blunting of the response to antidiuretic hormone (ADH), because the urinary osmolality (UOsm) achieved in the contralateral control kidney was 338 ± 40 mOsm/kg H2O but was only 270 ± 23 mOsm/kg H2O in the verapamil-infused kidney. The possibility was then studied that PG inhibit the action of ADH by impairing cellular calcium uptake. If so, verapamil would be expected to abolish the effect of PG inhibition to enhance the action of ADH. In eight PG-inhibited dogs, the control kidney's UOsm increased to a mean of 650 ± 103 mOsm/kg H2O but only to 280 ± 22 mOsm/kg H2O in the infused side. Thus, verapamil abolished the effect of PG inhibition to enhance the action of ADH. Likewise, in five dogs a second chemically dissimilar inhibitor of calcium transport, proadifen, also abolished the effect of PG inhibitors as UOsm rose to 590 ± 78 mOsm/kg H2O in the control kidney but only to 278 ± 11 mOsm/kg H2O in the proadifen-infused kidney. Neither prior vasodilatation nor an increased solute excretion with mannitol of a degree observed with verapamil mimicked the effect of the calcium uptake blockers to inhibit the action of ADH. The present in vivo studies therefore demonstrate that the effect of PG inhibitors to enhance the hydroosmotic effect of vasopressin involve cellular calcium transport.La captation cellulaire de calcium dans l'action des prostaglandines sur l'excrétion rénale d'eau. Le rôle de la captation cellulaire de potassium sur la réponse antidiurétique à la vasopressine a été étudiée chez les chiens anesthésiés et soumis à une diurèse aqueuse. Une perfusion intrarénale de vérapamil détermine une atténuation discrète de la réponse à d'hormone antidiurétique (ADH) puisque l'osmolalité urinaire (UOsm) obtenue dans le rein controlatéral est de 338 ± 40 mOsm/kg H2O mais seulement de 270 ± 23 mOsm/kg H2O (P < 0,05) du côté perfusé avec du vérapamil. La possibilité que les prostaglandines (PG) inhibent l'action de l'ADH en empêchant la captation cellulaire du calcium a été étudiée. Si cela était le cas, on devrait s'attendre à ce que le vérapamil abolisse l'effet de l'inhibition de PG qui augmente l'action de l'ADH. Chez huit chiens dont PG était inhibé UOsm des reins contrôles a augmenté jusqu'à une valeur de 650 ± 103 mOsm/kg H2O, mais seulement à 280 ± 22 mOsm/kg H2O du côté perfusé. Ainsi le vérapamil abolit l'effet de l'inhibition de PG. De la même façon, chez cinq chiens, un autre inhibiteur du transport du calcium chimiquement différent, le proadifen (0,375 mg/kg/min), abolit aussi l'effet des inhibiteurs de PG puisque UOsm augmente à 590 ± 78 mOsm/kg H2O dans les reins contrôles, mais seulement à 278 ± 11 mOsm/kg H2O dans les reins perfuses avec le proadifen. Ni la vasodilatation préalable, ni l'augmentation de l'excrétion de substances dissoutes par le mannitol à un niveau comparable à celui observé avec le vérapamil ne reproduisent l'effet des inhibiteurs de la captation de calcium. Les résultats obtenus in vivo démontrent donc que l'effet des inhibiteurs de PG, l'augmentation de l'effet hydroosmotique de la vasopressine, implique le transport cellulaire du calcium