Isolant un élément formel de la narration de Sender — la forme dramatique qui accompagne ou même remplace le récit romanesque — , l'article amorce une explication qui s'appuie, d'une part, sur une tradition espagnole (le Romancero, la Celestina, Cervantes..., jusqu'aux modernes Galdós, Baroja et Valle-Inclán) et, d'autre part, sur des raisons relevant du monde des idées senderiennes (telles que la conscience de culpabilité, l'autoanalyse de l'ambiguïté morale, etc.). Sous ce point de vue, on étudie ces traits structurels dans un roman (El rey y la reina), une nouvelle (Aventura en Bethania) et particulièrement dans les deux versions — scénique et romanesque — du même texte : l'Hernán Cortés de 1940, devenu le Jubileo en el Zócalo de 1964.To...