À travers l’analyse de sept films documentaires réalisés dans les années 2000 par Chantal Akerman, Vincent Dieutre, Vladimir Léon, Henri-François Imbert et Raymond Depardon, ce texte se propose d’étudier différentes modalités d’utilisation de la voix-off à des fins narratives mais aussi subjectives. Aussi, c’est la fameuse omniscience de la voix-off qui est remise en cause par ces cinéastes qui l’utilisent au contraire pour divulguer leurs doutes et leur fragilité. La voix-off participe alors de l’élaboration de nouvelles formes narratives, en l’occurrence documentaires
La présence d'une « voix narrative » dans les Rêveries du promeneur solitaire confirme, s'il en étai...
Il est indéniable que tout récit d'enfance devient plus ou moins explicitement le lieu d'émergence d...
Films introspectifs et romanesques, les récits de Desplechin sont de ceux dans lesquels le c...
Au nombre des caractéristiques de la production narrative contemporaine (plus exactement celle des d...
Le voir et le voir : ce qu'on voit n'est pas toujours vrai, et la vérité n'est pas toujours visible....
Parler de « la voix narrative » au singulier peut sembler, dans un premier temps, assez limitatif si...
Dans Les Illustres françaises, ce roman à devisants signé par un écrivain-voyageur peu conformiste q...
Cet article tente de faire, pour les voix narratives au cinéma, ce que Gérard Genette a accompli, il...
En juillet dernier, un précédent numéro des Cahiers de narratologie proposait une première étude con...
Jusqu'où est-il loisible d'aller trop loin ? A bien des égards, le vingtième siècle pourrait s'ident...
Qu'est-ce qu'une « voix » quand il s'agit d'un objet sans voix justement, un objet muet, texte dont ...
Dans une lettre adressée à René Blum, dans laquelle il évoque son roman, Proust fait remarquer : « C...
Qui parlait ? La tenue de cette voix fortement articulée ne pouvait être que d'un homme habitué à la...
Cet article, qui se place dans la perspective ouverte par les études culturelles interroge, dans un ...
Une étude comparée du grand film moderne d’Alain Resnais, Hiroshima mon amour (1959), et du dyptique...
La présence d'une « voix narrative » dans les Rêveries du promeneur solitaire confirme, s'il en étai...
Il est indéniable que tout récit d'enfance devient plus ou moins explicitement le lieu d'émergence d...
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