Une étude comparée du grand film moderne d’Alain Resnais, Hiroshima mon amour (1959), et du dyptique de Marguerite Duras, Aurélia Steiner (1979), laisse entrevoir une filiation entre deux films que vingt ans séparent et où s’entrecroisent un certain nombre de fils conducteurs : le lieu et la parole ; l’histoire et la mémoire ; la voix-off au féminin et l’irreprésentable. Il s’agira donc de penser ces deux œuvres cinématographiques à partir du rapport entre le parler féminin et la représentation du passé, soit la tonte des femmes au moment de la libération dans Hiroshima mon amour, soit l’extermination des Juifs d’Europe dans Aurélia Steiner
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