Devant les images (peintes, photographiées, filmées…) le spectateur, c’est une évidence, ne se borne pas à regarder : il ressent, il imagine, il pense. Un tableau de paysage : il imagine s’y promener, comme Diderot. Un film « de fiction » : il espère, redoute, et par force anticipe la suite des événements ; il est ému par le devenir des personnages, il s’empare de leur être par le jeu des identifications et des projections. François Truffaut confia à Alfred Hitchcock qu’il ne pouvait revoir U..
Filmer la création : bilan théorique Une esthétique de paragone Cette contribution consiste en une p...
Trente-cinq ans après sa sortie L’Homme au crâne rasé, œuvre première d’André Delvaux, continue à ex...
Le dispositif cinématographique est en substance une scène : c’est en même temps la scène à laquelle...
Devant les images (peintes, photographiées, filmées…) le spectateur, c’est une évidence, ne se borne...
Avec une carrière de plus de trente ans, riche de nombreuses formes artistiques (peinture, dessin, p...
Tous les visiteurs de musées sont accoutumés depuis de nombreuses années à faire halte (ou au contra...
Ce billet est l'introduction de l'ouvrage qui vient de paraître aux éditions L’Harmattan, dans la co...
International audienceQue voit-on des écrivains dans leurs photographies ? Ce livre entreprend une v...
« Les valeurs déplacent les faits. Dès qu'on aime une image, elle ne peut plus être la copie d'un f...
Les définitions des mots mythe et imaginaire ne sont guère positives dans les dictionnaires. ...
International audienceQuand il présente Fenêtre sur cour en 1954, Alfred Hitchcock jouit d’une popul...
Comme pour tout effet spécial, un plan de matte est par nature le lieu de toutes les rencontres. Au ...
« [Se fait], à un moment donné, la découverte par le spectateur que ce qu’il a pris pour “argent com...
« Vive le courant d’air de l’illisible, de l’inintelligible, de l’ouvert ! »Camille Bryen, tract-pré...
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