« Die glückliche Hand » fait partie de ces œuvres de Schoenberg réputées inanalysables. La densité de la texture musicale, la non répétition des thèmes ou des motifs, la libre atonalité semblent excéder tout discours « rationalisant ». Devant la partition, l’œil ne sait d’abord où se fixer, de même qu’à l’écoute, on hésite à reconnaître les parties principales des parties secondaires ; l’auditeur ne peut prendre conscience de la partition que sous une forme globale, non analytique. Même à l’i..
1. Il est une maxime selon laquelle les déclarations d’un auteur sur son œuvre ne sauraient fonder u...
Les différents paramètres se conçoivent généralement de manière séparée, puis se rejoignent, se « co...
Ma traduction est une partie de la publication parue dans la revue « Musik » 1910, et celle-ci est à...
On a considéré jusqu’ici le Quintette à vents exclusivement du point de vue de la technique dodécaph...
L’ensemble des œuvres conçues par Schoenberg entre 1908 et 1913 représente à l’évidence un pan consi...
La pièce pour orchestre opus 16 no 3 de Schoenberg est devenue célèbre grâce au terme aussi marquant...
1. Aux yeux du grand public, instance qui n’a rien de méprisable, Arnold Schoenberg est d’une part l...
À l’inverse de la pratique courante consistant à diviser en compartiments la production de Schönberg...
I. L’opposition entre esthétique et métier que soulignait Schoenberg en 1911 – non sans ironie – dan...
On ne sait pas très bien ce qu’est la musique à programme. L’idée d’une musique instrumentale « pure...
Le ressort profond de La Main heureuse, c’est l’Entrückung. Car tout ce qui fait sa singularité part...
Cet ouvrage du grand musicologue allemand Carl Dahlhaus, disparu en 1989, n’a pas été constitué comm...
I. Erwartung de Schoenberg a été interprété par le public de l’époque et par les historiens comme re...
Les tableaux de Schoenberg se divisent en deux genres : les uns représentent des personnages et des ...
L’œuvre scénique La Main heureuse pose à l’analyse une série de problèmes d’autant plus redoutables ...
1. Il est une maxime selon laquelle les déclarations d’un auteur sur son œuvre ne sauraient fonder u...
Les différents paramètres se conçoivent généralement de manière séparée, puis se rejoignent, se « co...
Ma traduction est une partie de la publication parue dans la revue « Musik » 1910, et celle-ci est à...
On a considéré jusqu’ici le Quintette à vents exclusivement du point de vue de la technique dodécaph...
L’ensemble des œuvres conçues par Schoenberg entre 1908 et 1913 représente à l’évidence un pan consi...
La pièce pour orchestre opus 16 no 3 de Schoenberg est devenue célèbre grâce au terme aussi marquant...
1. Aux yeux du grand public, instance qui n’a rien de méprisable, Arnold Schoenberg est d’une part l...
À l’inverse de la pratique courante consistant à diviser en compartiments la production de Schönberg...
I. L’opposition entre esthétique et métier que soulignait Schoenberg en 1911 – non sans ironie – dan...
On ne sait pas très bien ce qu’est la musique à programme. L’idée d’une musique instrumentale « pure...
Le ressort profond de La Main heureuse, c’est l’Entrückung. Car tout ce qui fait sa singularité part...
Cet ouvrage du grand musicologue allemand Carl Dahlhaus, disparu en 1989, n’a pas été constitué comm...
I. Erwartung de Schoenberg a été interprété par le public de l’époque et par les historiens comme re...
Les tableaux de Schoenberg se divisent en deux genres : les uns représentent des personnages et des ...
L’œuvre scénique La Main heureuse pose à l’analyse une série de problèmes d’autant plus redoutables ...
1. Il est une maxime selon laquelle les déclarations d’un auteur sur son œuvre ne sauraient fonder u...
Les différents paramètres se conçoivent généralement de manière séparée, puis se rejoignent, se « co...
Ma traduction est une partie de la publication parue dans la revue « Musik » 1910, et celle-ci est à...