La consécration dont Corneille fait l’objet dans l’institution universitaire peut sembler paradoxale lorsqu’on se réfère aux modèles valorisés par les manuels de rhétorique et les principales Histoires de la littérature. Que l’approche soit rhétorique ou historique, que ses pièces soient analysées pour apprendre à écrire ou pour l’édification républicaine, les commentaires sont ambivalents. Si la vigueur morale, la grandeur, le sublime présents dans son théâtre (réduit à quatre pièces : Le Cid, Horace, Cinna et Polyeucte) sont loués comme propres à l’esprit français, on critique en revanche d’autres traits (enflure, obscurité, manque de mesure), reprochés aussi aux romantiques. Qu’on l’assimile aux classiques ou aux romantiques, Corneille e...
Corneille développe dans ses pièces imprimées un important appareil para-textuel, qui est révélateur...
t. XI. Résumé de l'éditeur sur Corneille et sur son commentateur. Extrait du Discours prononcé par à...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...
Entre 1804 et 1887, une quinzaine de pièces furent représentées sur les scènes rouennaises et parisi...
La pratique de Corneille face à son œuvre imprimée a évolué au cours de sa carrière. Durant la premi...
« Corneille » n'existe pas. Telle est la bonne nouvelle de ce livre conçu lors du quatrième centenai...
« Corneille » n'existe pas. Telle est la bonne nouvelle de ce livre conçu lors du quatrième centenai...
La conception générale du théâtre et de sa pratique telle que la dessinent les différents poéticiens...
L’originalité de Corneille tient à la constante disponibilité qu’il a manifestée aux spectateurs de ...
Pierre Corneille, véritable opérateur économique, versé par profession dans les affaires, bien connu...
Dès ses premières pièces, Corneille semble concevoir la création dramatique comme une exploration de...
Les feuilletons dramatiques de Gautier, critique important de son temps, s’intéressent à Corneille, ...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...
Dans Othon, joué en 1664, Corneille s’inspire d’un épisode des Histoires de Tacite. Sa peinture de l...
L’esthétique ne naît pas tout armée au XVIIIe siècle et dès le XVIIe siècle, de lentes transformatio...
Corneille développe dans ses pièces imprimées un important appareil para-textuel, qui est révélateur...
t. XI. Résumé de l'éditeur sur Corneille et sur son commentateur. Extrait du Discours prononcé par à...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...
Entre 1804 et 1887, une quinzaine de pièces furent représentées sur les scènes rouennaises et parisi...
La pratique de Corneille face à son œuvre imprimée a évolué au cours de sa carrière. Durant la premi...
« Corneille » n'existe pas. Telle est la bonne nouvelle de ce livre conçu lors du quatrième centenai...
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La conception générale du théâtre et de sa pratique telle que la dessinent les différents poéticiens...
L’originalité de Corneille tient à la constante disponibilité qu’il a manifestée aux spectateurs de ...
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Dès ses premières pièces, Corneille semble concevoir la création dramatique comme une exploration de...
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Corneille développe dans ses pièces imprimées un important appareil para-textuel, qui est révélateur...
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Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...