Conclusion

Conclusion. After much reflexion on the historical interpretation of the Arles-Rhône 3 wreck, it seems clear that this craft should be seen within the perspective of a great architectural diversity. While part of the Rhône-Saône tradition, the barge is merely the representative of an “architectural family” particular to the Lower Rhône and to the “Arles zone of transport geography”, and it sits next to other families that belong to upstream zones of transport geography, like the family constituted by the barge wrecks of the Parc Saint-Georges. After the wrecks of Lyon, it is now the turn of the Arles-Rhône 3 wreck to contribute to the writing of the “ new history” of ancient river-going architecture.Au terme de la réflexion sur l’interprétation historique de l’épave du chaland Arles-Rhône 3, il apparaît manifeste que c’est dans une perspective de grande diversité architecturale qu’il faut replacer cette épave qui, au sein de la tradition « Rhône-Saône » , ne représente ainsi qu’une «famille architecturale » , plus particulière au Bas-Rhône et à «l’espace nautique arlésien » , à côté d’autres familles plus propres aux espaces nautiques d’amont comme la famille constituée par les épaves des chalands du Parc Saint-Georges. Après les épaves de Lyon, l’épave Arles-Rhône 3 contribue à son tour à l’élaboration de cette «nouvelle histoire » de l’architecture nautique fluviale antique.Marlier Sabrina. Conclusion. In: Archaeonautica, 18, 2014. Arles-Rhône 3.Un chaland gallo-romain du Ier siècle après Jésus-Christ, sous la direction de Sabrina Marlier. pp. 289-290