L’utilisation de planifications fiscales agressives par les entreprises peut engendrer des obligations financières importantes et une perte de réputation lorsqu’elles sont détectées par les autorités fiscales. Une étude publiée par KPMG en 2004 révèle que, malgré le fait que la direction des entreprises a l’obligation de maximiser la richesse des actionnaires, la minimisation du fardeau fiscal d’une société par le respect strict de la loi n’est plus aujourd’hui une pratique acceptable. En effet, un tel comportement peut nuire à la réputation de la société et ainsi détruire la richesse de l’actionnaire. Par conséquent, la fiscalité d’une société ne peut plus être laissée que sous la gouverne d’un groupe d’experts au sein de l’organisation. \...