Dessin au fusain rehaussé de gouache, sur papier brun ; 23,5 x 15,7 cmDans une de ses lettres, la comtesse Sanseverino décrit ainsi Balzac : « Vous vous l’imaginez peut-être grand et élancé, pâle et décharné, avec une de ces physionomies qui sont déjà l’expression de l’inspiration, de la poésie ? Gardez-vous de telles illusions ! C’est un petit homme gras, joufflu, tout rond, rubicond, mais avec des yeux d’un noir intense, deux yeux qui jettent du feu lorsqu’il s’anime, le feu que l’on retrouve sous sa plume. Et savez-vous qui l’accompagne ? Un page, le page du Lara de Byron, un adolescent à la voix suave, aux mouvements d’une douceur et d’une souplesse extrêmes… une femme enfin ! » La comtesse fait référe...