Music as space maker and place marker

Annual Conference Training Symposium of Royal Geographic Society and Institute of British GeographersThere is a hiatus between disciplinary imagination in geography and musical geographical imagination. The first, we defined as a whole of collective representations, conceive whit difficulty music as a geographical object. The second, which may be traduced as geographical representation carried by music, escape a long time to disciplinary frame of analyse even though it is a vast an heuristic social reality. My proposition is so to attempts an explication of this tension. I will base me on two research conduced in parallel. One is characterised by the epistemocritic of large part of works geographers propose on music. Its ambition is to show different levels of explication given to the late of the theme and the astonishment it still create today. The other research constitutes the empirical counterpoint of our proposition. It relates the geographic being of flamenco, which is a perfect example of the imagniray link between music, space and place. By this way, we hope to bring together the disciplinary imagination and the experimentation of representational constructions in music. So, we may participle to the actual dynamic which makes an effort to enlarge the subject frame and become the object less compartmentalized.Il existe un hiatus entre l'imaginaire disciplinaire en géographie et l'imaginaire géographique musical. Le premier, que l'on pourrait définir comme un ensemble de représentations collectives, a du mal à concevoir la musique comme un objet géographique. Le second, qui se traduit par les représentations géographiques véhiculées par la musique, à longtemps échappé aux cadres disciplinaires de l'analyse alors qu'il est une réalité sociale aussi vaste qu'heuristique. Notre proposition est donc de tenter d'expliqué cette tension. Nous nous baserons sur deux recherches menées en parallèles. La première se caractérise par l'épistémocritique d'une partie des travaux de géographes ayant abordé la question musicale. Elle a pour ambition de mettre en avant les différents niveaux d'explication du retard de l'entrée musicale en géographie et de l'étonnement que crée encore aujourd'hui le sujet. La deuxième constitue le contrepoids empirique de cette proposition. Elle retrace la géographicité d'un phénomène musical au travers de l'exemple du flamenco, auquel les différentes échelles spatiales de la ville andalouse sont intrinsèquement liées. En réunissant alors la théorie de la représentation disciplinaire et l'expérimentation des constructions représentationnelles dans la musique, nous pourrions peut-être participer à la dynamique actuelle qui s'efforce d'élargir l'heuristicité du sujet et de décloisonner l'objet