Etude de Marguerite Duras I : un essai sur Moderato Cantabile (1958)

Les 50 ans de la création littéraire de Marguerite Duras depuis 1943, il est remarquable que le premier changement fondamental a été causé à la presque même période de la mort de sa mère. En ajoutant la relation amoureuse avec Gérard Jarlot depuis 1956 jusqu’en 1964, Duras avait fait l’expérience de la folie, de l’amour et de la mort.Ce changment s’est concrétisé par Moderato Cantabile, nouvel publié en 1958, et le distingue des premières oeuvres durasiennes. Dès le premier roman,Duras avait traité les problèmes familiaux dont il s’agit de la relation entre mère et fi lle en particulier. Dans cet article, nous essayons délucider ce changement,en comparant Moderato Cantabile avec les premies oevres durasiennes ―― La vie tranquille (1944), Un barrage contre le Pacifi que (1950), Les petits chevaux de Tarquinia (1953) et Les chantiers (1954) ――, sous les aspects de la «mère» et de la «mort».Première partie concernant le thème de la «mère», nous essayons esquisser l’héroïne par rapport du problème de «regard». Et aussi, nous réfl échissons ledésir «être regardée» et l’identité d’une femme en analysant des héroïnes par rapport de la relation entre mère et fi lle.Dans la deuxième partie, nous traitons de la «mort» au point de vue de «l’autrui».Au fur et à mesure de la situation (fi lle, marieé, mère etc.), la relation à l’autrui et l’acceptation de sa mort changent dans les premières oeuvres durasiennes.À l’example de Les chantiers et des autres premiers romans durasiens, nous essayons montrer la diffi culté de la représentation de ce problème dans le cadre du réalisme romanesque, et la tentation de la possibilité du parole. En résultat,la parole imaginaire dans ce nouvel invente une histoire vraisemblable, et fait le fantasme dangereux.Ainsi, au travers la recherche de nouveau façon littéraire chez Moderato cantabile en focalisant des aspects de la «mère» et de la «mort», Duras avait attendu vers l’horizon où mélange le réel à l’imaginaire