Petrus de Alvernia, Quodlibeta. -- Godefridus de Fontibus, Quodlibeta. -- Nicolas de Gorran, In VII epistolas canonicas expositio. -- Super Cantica. -- Johannes de Monciaco, Sermones.

Contient : Petrus de Alvernia, Quodlibeta. -- Godefridus de Fontibus, Quodlibeta ; Nicolas de Gorran, In VII epistolas canonicas expositio ; Supra Cantica ; Johannes de Monciaco, SermonesNumérisation effectuée à partir d'un document de substitution.Selon G. Cannizzo, le manuscrit aurait appartenu à la bibliothèque de la Sorbonne comme le démontrerait une cote "214" (non visible aujourd'hui). Une partie du manuscrit (f. 128-183) aurait appartenu à un certain Petrus de Caleto, selon une mention du dernier tiers du XIVe siècle du texte au f. 183v : "Iste liber est sancti Victoris Parisiensis quem dedit frater Petrus ( quem dedit frater Petrus exponctué et corrigé en interligne par : et est Petris de Careto) de Careto (Careto repris en Caleto)" Plusieurs ensembles semblent avoir circulé indépendamment avant d'être réunis ici. Les différents Quodlibets ont été réunis plus tôt et ont été annotés et structurés par une même main de la première moitié du XIVe siècle. En revanche, l'ajout des oeuvres suivantes à ce corpus semble plus tardif. Une mention (fin XIVe- début XVe siècle) au f. 208v (cf. infra) détaille les cahiers du Supra Cantica avant la reliure. En outre, une foliotation ancienne, sur laquelle a ensuite été inscrite la foliotation définitive, regroupe également les deux ensembles formés par le Commentaire sur les épîtres canoniques de Nicolas de Gorran et le Super Cantica. Ce manuscrit a fait partie de la bibliothèque de l' Abbaye de Saint-Victor de Paris. A l'encre noire au f. 2 : "Iste liber est Sancti Victoris Parisiensis. Quicumque eum furatus fuerit vel celaverit vel titulum istum deleverit, anathema sit." Suit d'une écriture postérieure (XIV-XVe) : "Iste liber est sancti Victoris parisiensis." Au f. 3, à l'encre rouge : "Jhesus, Maria, sanctus Victor, sanctus Augustinus" accompagné du blason de l'abbaye. Le manuscrit est entré dans les collections de la Bibliothèque nationale après les saisies révolutionnaires en 1796.Lieu de copie : Pari