Résultats de la première enquête de climat scolaire et victimation auprès des élèves de CM1-CM2: 92,4 % d’entre eux déclarent se sentir « bien » ou « très bien » dans leur école

In 2020-2021, 92.4% of fourth and fifth grade French pupils say they feel ‘good’ or ‘very good’ in their school. The vast majority of pupils have good relationships at school with other pupils, teachers and other adults in the school. 95.8% of pupils consider learning in their class to be ‘good’ or ‘very good’. Girls and boys have a fairly similar opinion ofthe school climate, but girls feel less safe in the school environment than boys. Four out of ten students report having been verbally abused, ostracised or robbed at least once during the school year. Girls report being victims of physical violence less often duringthe year, but more often being ostracised. 24.7% of pupils report having been victims of at least one violent incident repeatedly. Moreover, 2.6% of pupils report more than five repeated attacks. This situation of high multiple victimisation concerns girls as much asboys and more so pupils in reinforced priority education networks (REP+) (4.2%). While eight out of ten pupils in this situation say they defend themselves against violence, one pupil in three does not tell anyone about it. In one out of five cases, the parents go tothe police station or gendarmerie following the violence.En 2020-2021, 92,4 % des élèves de CM1-CM2 déclarent se sentir « bien » ou « très bien » dans leur école. La très grande majorité des élèves entretiennent de bonnes relations dans le cadre scolaire, que ce soit avec les autres élèves, les enseignants et les autres adultes de l’école. 95,8 % des écoliers considèrent « bien » ou « tout à fait bien » apprendre dans leur classe. Les filles et les garçons ont une opinion assez semblable sur le climat scolaire, mais les filles se sentent moins en sécurité dans le cadre scolaire que les garçons. Quatre élèves sur dix indiquent avoir été au moins une fois, victimes de violences verbales, d’ostracisme ou de vol au cours de l’année scolaire. Les filles disent moins souvent avoir été victimes de violences physiques au cours de l’année, mais davantage mise à l’écart. 24,7 % des élèves déclarent avoir été victimes d’au moins une violence de façon répétée. Et 2,6 % des élèves signalent plus de cinq atteintes répétées. Cette situation de forte multivictimation concerne autant les filles que les garçons et davantage les élèves en REP+ (4,2 %). Si huit élèves sur dix dans cette situation disent se défendre eux-mêmes face à une violence, un élève sur trois n’en parle à personne. Dans un cas sur cinq, les parents se sont rendus au commissariat ou à la gendarmerie suite aux violences subies