Plusieurs critiques, comme François Ricard et Éva Le Grand, ont mis l’accent sur le désenchantement du roman kundérien. Si nous considérons leurs propos comme justes, nous croyons aussi qu’il faut rappeler la présence et l’importance des éléments mythiques et sacrés dans le roman de Milan Kundera. Nous posons l’hypothèse que le sacré et la prose sont unis par une oscillation qui organise le parcours des personnages du roman. Dans La valse aux adieux, cette oscillation est bornée par deux objets bleus : la lumière irradiant de Bertlef et le comprimé mortel de Jakub.Several critics, such as François Ricard and Éva Le Grand, insist on the disenchantment in Milan Kundera’s works. If we agree with this point of view, we also believe that many im...