À la lecture du texte d’Herman Parret, consacré à Marcel Duchamp, apparaît de toute évidence qu’une autre sémiose figurative se met en place : là où on attendrait une sémiose (plus ou moins) iconique, dans l’ordre de la représentation des corps (féminins, notamment), Duchamp joue de la contiguïté et de l’empreinte, c’est-à-dire de relations indicielles. Pourtant, l’empreinte est aussi une figure hypoiconique, dans la mesure où elle propose un simulacre et une certaine équivalence d’un corps qui a été en contact avec une forme matérielle, et qui a laissé une trace (une inscription) comme témoignage de ce contact et de son identité en tant que corps. Une sémiotique de l’empreinte se dessine alors, comme une espèce particulière de la mémoire d...