Le diagnostic s’est révélé dans une large mesure positif mais les vestiges découverts présentent en revanche un degré de conservation peu important. Par ailleurs, l’étude paléoenvironnementale a permis de compléter les données sur ce piémont de Costière bien investi depuis les premières opérations préventives de 2010.Les sites révélés appartiennent à deux périodes bien distinctes. Les vestiges les plus importants peuvent être situés durant le Néolithique final et se caractérisent par des structures en creux plus ou moins bien conservées. Des silos sont présents au sud et côtoient des fosses à comblement de rejet domestiques à remplissage identique. Une partie de ces structures présente en outre des restes d’architecture en terre crue brûlée...