Facteurs qui influent sur la violence basée sur les sexes chez les hommes et les femmes dans les états choisis au Nigéria

This study determined the factors associated with gender based violence among 3000 men and women in selected states in Nigeria. Respondents who had experienced physical violence were 806(26.9%), comprising 353(11.8%) males and 453(15.1%) females (p<0.001). Respondents who had experienced sexual violence were 364 (12.1%) of which 221 (7.4%) were males and 143(4.8%) were females (p<0.0001). Married female respondents were more likely to experience physical violence than single respondents (OR= 1.71, 95%CI: 1.15-2.53 p=0.008). In addition, lower risk of experiencing sexual violence among males was observed among those who do not drink alcohol. The study has shown that gender based violence still constitutes a problem in Nigeria, affecting women more than men. However, efforts should be geared towards addressing the factors that promote violence among both sexes through increased awareness and education (Afr J Reprod Health 2011; 15[4]: 78-86).Cette étude a déterminé les facteurs liés à la violence basée sur les sexes chez 3000 hommes et femmes dans les états choisis au Nigéria. Les interviewés qui ont vécu la violence physique comptaient 806(26,9%) y compris 353 (11,8%) mâles et 453 (15,1%) femelles (p<0,001). Les interviewés qui ont vécu la violence sexuelles comptaient 364 (12,1%) dont 221 (7,4%) étaient des mâles et 143 (4,8%) étaient des femelles (p<,0001). Les interviewés femelles mariées avaient plus la possibilité de subir la violence physique que les interviewées célibataires (0R=1,71, 95%CI : 1,15-2,53 p=0,008). De plus, le risque plus élevé chez les hommes de subir la violence sexuelle a été lié significativement à l’état de fumeur des partenaires, l’état professionnel et la consommation d’alcool chez les mâles. L’étude a montré que la violence basée basée sur les sexes constitue encore un problème au Nigéria et touche plus les femmes que les hommes. Néanmoins, il faut faire des efforts pour s’occuper des facteurs qui encouragent la violence chez les deux sexes à travers l’intensification de la sensibilisation et l’éducation (Afr J Reprod Health 2011; 15[4]: 78-86)