Who is being served least by family planning providers? a study of modern contraceptive use in Ghana, Tanzania and Zimbabwe

This study was conducted to identify the poorest and other vulnerable sub-groups being served least by family planning providers. The study was set in three countries in sub-Saharan Africa, namely, Ghana, Tanzania and Zimbabwe. This region generally has a low but increasing uptake of modern contraceptive methods. As the use of family planning providers increases, there is a need to understand who is not being served and why. Logistic regression analyses of demographic and health survey data were conducted to identify the characteristics and geographical areas of women who are not using modern contraceptive methods. The results show some similarities among the countries in those using modern methods the least. However, a number of groups were country specific. Identifying the poorest women with the lowest use of modern methods is best done by assessing their household amenities or their partner's status rather than theirs. (Afr J Reprod Health 2004; 8[2]: 124-136 ) Résumé Qui sont les moins servis par les prestataires des services le la planification familiale? Une étude de l'usage moderne du contraceptif au Ghana, en Tanzanie et au Zimbabwe. Cette étude avait pour but d'identifier les groupes les plus pauvres et les autres sous-groupes qui sont les moins servis par les prestataires des services de la planification familiale. L'étude s'est située dans trois pays sub-sahariens, à savoir le Ghana, la Tanzanie et le Zimbabwe. Cette région connaît en général une faible acceptation des méthodes contraceptives modernes quoique cette acceptation soit en augmentation. Au fur et à mesure que le nombre des prestations des services de planification familiale augmente, il y a le besoin des comprendre ceux qui ne sont pas servis et pourquoi. Les analyses de la regression logistique des données de l'enquête démographique et de santé ont été menées pour identifier les caractéristitques et les domaines géographiques des femmes qui n'emploient pas des méthodes contraceptives modernes. Les résultats ont montré des similarités parmi les pays chez ceux qui emploient les méthodes modernes. Néanmoins, certains groupes affichaient des caractéristiques des pays spécifiques. Pour identifier les femmes les plus pauvres qui emploient les moins les méthodes modernes, il vaut mieux évaluer les appareils ménagers ou la situation économique de leur conjoint plutôt que de leur proper situation. (Rev Afr Santé Reprod 2004; 8[2]: 124-136