Mes premiers remerciements vont à Gilles Pécout et à Nicola Labanca qui ont dirigé mes parcours de recherche, ainsi qu’à Habib Kazdaghli, Hélène Blais, Fabrice Jesné et Mathieu Grenet. Je tiens à remercier particulièrement Patrizia Dogliani et M’hamed Oualdi pour la confiance qu’ils m’ont accordée. Ce livre n’aurait pas été possible sans le soutien de l’École normale supérieure, de l’École française de Rome, de l’Université franco-italienne, de l’Institut de recherche sur le Maghreb contempor..