Recherches anatomiques et biologiques sur les Sphaeropsidales – Phaeodidymae des <i>Fungi imperfecti</i>

Il y a un siècle, en avril 1852, le mycologue français ROBERGE écrivait du parc de Lébisey à DESMAZIÈRES, à propos d\u27une Sphaeropsidaceae : « Cette petite production habite ici de vieilles écorces de hêtre tantôt seule, tantôt en compagnie du Sphaeria gattrina, du Peziza cinnabarina et de cinq ou six autres petits êtres. Les sphérules sont très nombreuses et s\u27étendent sur des portions considérables du support... elles sont hémisphériques, brunâtres. Le nucleus se résout en sporules elliptiques, deux fois plus longues qu\u27épaisses, marquées d\u27une cloison transversale...» C\u27est ainsi que la première diagnose d\u27une Phaeodidymée a été donnée. DESMAZIÈRES a classé cet échantillon dans le nouveau genre Diplodia.