Concevoir l’Église chrétienne des deux derniers siècles du Moyen Âge comme une institution homogène et immuable serait faire fi de la diversité de formation et de statuts des hommes qui la composent, mais aussi des évolutions, des adaptations et des volontés de réforme qui apparaissent en son sein. Dès lors que l’on considère les discours sur les vices et les péchés tenus en Bretagne durant les xive et xve siècles, on ne peut que constater la multiplicité des types de production et la variété..