Si la nostalgie de la gloire martiale des années de désenchantement puis, de façon plus durable, le « mythe de la guerre » – qui trouva tout à la fois à se nourrir en représentations et à se déployer sur de nouveaux terrains – conservèrent aux héros militaires leur attrait, si, parallèlement, dans les années 1830 d’abord, puis sous la IIIe République, ils devinrent des figures majeures du « roman national » et furent statufiés, célébrés, le xixe siècle valorisa également un « héroïsme domesti..