International audienceEn 1945, G. Le Bras insistait sur la nécesité de mener à bien une véritable "géographie religieuse", tant il jugeait important de comprendre comment les réalités religieuses s'enracinaient dans le sol et transformaient les paysages. Une vingtaine d'années plus tard, le R.P de Dainville pouvait constater combien était laborieuse la mise en place d'une cartographie ecclésiastique. Aujourd'hui encore, malgré les progrès réalisés en terme de pure cartographie, on mesure mal la qualité de cette géographie religieuse. Saisir cette marque spatiale de l'Eglise est pourtant important, notamment au regard de certaines questions comme par exemple celle de l'adaptation de l'Eglise au monde en urbanisation du XIXe siècle. En France...