Habiter le numérique

International audienceLa communication propose quelques pistes de travail portant sur l’adaptation permanente de nos systèmes complexes, pour parvenir à une ville, une architecture interactive, adaptative, réactive par rapport aux transformations du milieu, du climat, de la lumière, de la pollution mais aussi évidemment des êtres humains ; la malléabilité de la ville pour réfléchir une ville qui va devoir s’adapter, mettre de la polyvalence pour éviter de se disperser dans l’espace et de la haute qualité temporelle dans tous les aménagements de la ville finie et de la ville à faire : comment faire cohabiter des populations différentes sur le même espace, de façon successive mais aussi en même temps ?; l’hybridation des temps et des usages, mais aussi des espaces et des identité ; l’augmentation, jusqu’à l’idée d’un citoyen « augmenté » ; l’habitabilité, les représentations, l’imagibilité du système, la simulation : comment le numérique permet-il de simuler la ville ? ; le déploiement d’un urbanisme des temps, d’un urbanisme temporaire afin d’inventer des moments pour faire territoire ; la fabrique d’imaginaires, avec des hybridations d’imaginaires et bien sûr, entre le réel, le virtuel, les connexions, le numérique, les traces, de nouveaux imaginaires en fabrication qu’il faut aller explorer