International audienceDans un poème indocile, Thierno Seydou Sall plaida pour l’instauration de l’Institut fictionnel d’Afrique Noire. Abouté au musée Théodore Monod d’art africain, cet institut ne serait pas un territoire fermé ou amarré, mais une figuration de l’a-venir, pour affirmer des avenirs possibles, nos aspirations à la métamorphose. Ce numéro soutient la création d’un tel espace. Il est pensé comme une figuration textuelle de ce nouvel institut et donne corps à une pluralité de récits et d’engagements intellectuels, sociaux, artistiques, politiques transformant nos communautés de savoir, travaillés par les devenirs de l’IFAN ou travaillant les devenirs de l’IFAN