National audienceLes États figurent aujourd’hui au premier rang des accusés dans l’échec, relatif, des politiques mises en œuvre pour respecter les engagements internationaux, en particulier ceux de l’Accord de Paris.Deux ans après que « l’Affaire du siècle » ait recueilli plus de 2 millions de signatures, la justice a jugé en février 2021 que l’État français avait commis une « faute » en se montrant incapable de tenir ses engagements de réduction des gaz à effet de serre (GES) pour la période 2015-2018.Aujourd’hui des ONG et des experts dénoncent le Traité de la charte de l’énergie, signé en 1994 et peu connu du grand public, qui protège les investissements étrangers dans la production, l’exploration, la distribution de toutes les énergies...