Bien nombreux sont ceux que je voudrais remercier d’avoir contribué à l’achèvement de ce livre. Que je dise avant tout qu’il n’aurait jamais été possible, tel qu’il se présente aujourd’hui au lecteur, sans mon long séjour d’études à Paris. Ma reconnaissance donc, aux institutions et aux personnes qui ont rendu ce séjour possible : Jaime Tamayo, l’ami et l’historien, qui fut le premier à me guider sur les chemins de l’histoire régionale ; M. François-Xavier Guerra, qui a suivi en France ma rec..