Bucarest le 6/18 décembre 1866 Chère et bonne mère, Tu te plains sans doute et avec mille justes raisons de mon long silence. J’espère que les nouvelles occupations qui viennent de fondre sur moi te rendront un peu indulgente. Quoi qu’il arrive, je ferai tous mes efforts pour t’écrire le plus souvent possible. Je me trouve un peu seul depuis le départ de M. F[riedländer] et il faut que je songe à une foule de détails qui n’étaient pas auparavant de mon ressort. Je reçois dans la journée d..