Bucarest, le 25 déc[embre] 1866 Mon cher Père, J’espère que mes souhaits de bonne année te parviendront à temps et que ma lettre t’apportera, le premier janvier au matin, comme j’eusse tant aimé le faire moi‑même, l’expression de mes sentiments de dévouement et d’affection. J’ai appris que tu avais été assez malheureux dans ton excursion à Bonneval et que le gibier n’avait guère répondu à ton appel, d’ailleurs peu encourageant. Que ne viens‑tu dans nos parages ? Tu pourrais te livrer aux ..