Bucarest, le 18/30 mars 1867 Chère et bonne mère, Je ne sais comment te remercier des jolies étrennes que tu m’as envoyées. J’ai trouvé tes charmants boutons parfaitement en ordre et j’ai été vivement touché de ce souvenir. On me traite vraiment trop en enfant gâté et j’en suis, je t’assure, un peu confus. Que restera‑t‑il de plus aux théodores présents et à venir ? Tu ne saurais imaginer combien j’étais impatient de recevoir ma caisse. Je croyais, d’après ce que tu m’avais écrit, qu’elle..