S’il est des désirs obscurs et des amours ténébreuses dans la littérature décadentiste, il est aussi des pages solaires, où l’amour aveugle de ses mille feux, où l’astre diurne resplendit de toute sa force. Le temps dégradant suspend parfois son vol et, au détour d’une page, procède d’une revivifiante régression dans les temps primordiaux, quand les soleils n’étaient pas encore crépusculaires, que les corps n’étaient pas déjà à leur automne, les cœurs à leur hiver. Loin des forêts de Tiffauge..
À cinq heures moins le quart, par ces matins d’hiver, il m’arrive parfois d’être éveillé par les pre...
Automne, c’était l’automne déjà. Et déjà la forêt, une fois encore. Les fûts seulement dardaient plu...
« [...] Que dirait-on d’un homme qui voudrait toujours voir sa maîtresse dans de radieuses parures, ...
Le siècle en sa fin se retourne sur lui-même : vertige des millénaires ou épuisement des pensées d’a...
Quand on se trouve dans la vie, on n’y fait pas souvent ce qu’on y voudrait faire. Moi, qui n’ai pas...
Dans une note des Carnets, Camus révèle ses dix mots préférés : « Le monde, la douleur, la terre, la...
Dans le titre même des Regrets s’inscrit le sentiment d’un temps perdu qui s’affirme dès le seuil de...
Sans une plume que serait nos viesDe savoir perdu le rempart de nos furiesPourquoi sommes-nous si l’...
Traiter en quelques pages un sujet aussi vaste et controversé que « la franc-maçonnerie en France à ...
« Attendre. Encore quelques jours, quelques semaines. Quelques mois peut-être, ajoute la petite voix...
Racine, Hugo, Baudelaire, Rimbaud même, on me les a mâchés : je n’ai qu’à ruminer, s’il me plaît. Ma...
La merveille, quand même : le négatif et la joie « Épuisement », « exténuation », ces termes revienn...
Au sein de la littérature à la fois imposante et inégale consacrée au loup dans l’histoire des homme...
Élégamment courbée par l’italique qui en affine la silhouette, le plus souvent solitaire, sauf à s’a...
Autant ne pas y aller par quatre chemins : j’ai parfois quelques problèmes avec l’art contemporain. ...
À cinq heures moins le quart, par ces matins d’hiver, il m’arrive parfois d’être éveillé par les pre...
Automne, c’était l’automne déjà. Et déjà la forêt, une fois encore. Les fûts seulement dardaient plu...
« [...] Que dirait-on d’un homme qui voudrait toujours voir sa maîtresse dans de radieuses parures, ...
Le siècle en sa fin se retourne sur lui-même : vertige des millénaires ou épuisement des pensées d’a...
Quand on se trouve dans la vie, on n’y fait pas souvent ce qu’on y voudrait faire. Moi, qui n’ai pas...
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Sans une plume que serait nos viesDe savoir perdu le rempart de nos furiesPourquoi sommes-nous si l’...
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« Attendre. Encore quelques jours, quelques semaines. Quelques mois peut-être, ajoute la petite voix...
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La merveille, quand même : le négatif et la joie « Épuisement », « exténuation », ces termes revienn...
Au sein de la littérature à la fois imposante et inégale consacrée au loup dans l’histoire des homme...
Élégamment courbée par l’italique qui en affine la silhouette, le plus souvent solitaire, sauf à s’a...
Autant ne pas y aller par quatre chemins : j’ai parfois quelques problèmes avec l’art contemporain. ...
À cinq heures moins le quart, par ces matins d’hiver, il m’arrive parfois d’être éveillé par les pre...
Automne, c’était l’automne déjà. Et déjà la forêt, une fois encore. Les fûts seulement dardaient plu...
« [...] Que dirait-on d’un homme qui voudrait toujours voir sa maîtresse dans de radieuses parures, ...