Ma mère, la chose réelle et fixe… le miroir, le satellite.Virginia Woolf, Instants de vie — Avait-il une image d’elle ?— Il dit qu’au début, oui, il aurait eu cette image noire, de femme à cheveux noirs. Et puis qu’ensuite cette image aurait été remplacée par celle des deux photographies. Et puis qu’ensuite encore, lorsque les photographies auraient été oubliées, il aurait retrouvé l’image noire donnée par elle.Marguerite Duras, Le Navire Night Un texte est imprenable Voici un mot, substantif..
Ecrire pour Marguerite Duras est un exercice de style. C’est un appel solennel à la fusion des ar...
Les mots ne sauront jamais diffracter la lumière des photographies d’Agnès Veilhan. Rien ne peut arr...
Dans son roman publié en 1925, Virginia Woolf construit de Clarissa Dalloway un portrait en mouvemen...
Car la Photographie, c’est l’avènement de moi-même comme autre : une distorsion retorse de la consci...
Non pas aux prises avec un passé qui serait une préfiguration de l’avenir, mais restitué à l’ignoran...
Les écrits sur les femmes photographes au Québec se font plutôt rares. J'ai donc été surprise d'en t...
« l’Organon de la représentation […] aura pour double fondement la souveraineté du découpage et l’un...
Le temps vu à travers l’image est un temps perdu de vue.René Char, Les Feuillets d’Hypnos — Dit-il a...
Parmi les livres contemporains dont l’imaginaire abrite la présence furtive ou obsédante d’un illust...
Le lecteur familier de l’œuvre de Henri Michaux ne se sent pas dépaysé dans celle de Marguerite Dura...
C’est sur une image que je voudrais clore ce livre. Elle est de ce même photographe taciturne dont p...
Ce chapitre a pour point de départ la relation que Virginia Woolf entretenait avec les images : pris...
Dans un court texte qu’il a écrit autour de photographies de Brassaï (ce chasseur de graffiti, ce no...
1 et 2. Des bourgeois à la sexualité trouble (La Nouvelle Babylone) (coll. Myriam Tsikounas) ...
Par Morgane Hamon (ARIP) Virginia Stephen (Woolf) en 1902, photographie de George Charles Beresf...
Ecrire pour Marguerite Duras est un exercice de style. C’est un appel solennel à la fusion des ar...
Les mots ne sauront jamais diffracter la lumière des photographies d’Agnès Veilhan. Rien ne peut arr...
Dans son roman publié en 1925, Virginia Woolf construit de Clarissa Dalloway un portrait en mouvemen...
Car la Photographie, c’est l’avènement de moi-même comme autre : une distorsion retorse de la consci...
Non pas aux prises avec un passé qui serait une préfiguration de l’avenir, mais restitué à l’ignoran...
Les écrits sur les femmes photographes au Québec se font plutôt rares. J'ai donc été surprise d'en t...
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Le temps vu à travers l’image est un temps perdu de vue.René Char, Les Feuillets d’Hypnos — Dit-il a...
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Le lecteur familier de l’œuvre de Henri Michaux ne se sent pas dépaysé dans celle de Marguerite Dura...
C’est sur une image que je voudrais clore ce livre. Elle est de ce même photographe taciturne dont p...
Ce chapitre a pour point de départ la relation que Virginia Woolf entretenait avec les images : pris...
Dans un court texte qu’il a écrit autour de photographies de Brassaï (ce chasseur de graffiti, ce no...
1 et 2. Des bourgeois à la sexualité trouble (La Nouvelle Babylone) (coll. Myriam Tsikounas) ...
Par Morgane Hamon (ARIP) Virginia Stephen (Woolf) en 1902, photographie de George Charles Beresf...
Ecrire pour Marguerite Duras est un exercice de style. C’est un appel solennel à la fusion des ar...
Les mots ne sauront jamais diffracter la lumière des photographies d’Agnès Veilhan. Rien ne peut arr...
Dans son roman publié en 1925, Virginia Woolf construit de Clarissa Dalloway un portrait en mouvemen...