Depuis le milieu du vingtième siècle, la philosophie européenne rappelle à toute occasion que le savoir n’a pas de prise directe sur le monde des phénomènes. Husserl avait proposé à la phénoménologie d’accéder aux « choses mêmes », mais nous avons appris depuis à respecter – sinon à craindre – la puissance constitutive du langage. Nous savons désormais que l’objet de notre savoir est toujours déjà appréhendé dans le discours. Il ne s’agit pas simplement de nommer l’objet en le saisissant, mai..
L’acte personnel et collectif d’espérer est devenu, depuis le tournant du nouveau siècle, l’objet d’...
Notre époque a commencé à observer une série de phénomènes qu’on ne savait autrefois comment situer,...
Malgré sa dimension universelle, le dégoût n’est assurément pas une des notions centrales de l’histo...
Combler le déficit : introduction à la naturalisation de la phénoménologie « Nous combattons la natu...
Mikel Dufrenne a joui d’une indéniable notoriété en France et à l’étranger après la publication de s...
La façon exclusive dont la vision globale du Monde qui est celle de l’homme moderne s’est laissé, da...
Dans un précédent ouvrage, nous avons cherché à décrire et à comprendre phénoménologiquement les épr...
Réfléchir sur le « fondement » demande une attention particulière par rapport à celle requise par un...
Un événement inédit dans l’histoire de la philosophie s’est produit en Autriche dans la seconde moit...
none1noSi la phénoménologie aspire à être une science des phénomènes, elle n’a pourtant pas été néce...
Afin de mieux comprendre ce que fut l’érudition pendant les siècles qui ont précédé le XIXe siècle, ...
Pendant plusieurs décennies, « l’Europe » a été un « objet » très peu étudié par les sciences humain...
L’acte personnel et collectif d’espérer est devenu, depuis le tournant du nouveau siècle, l’objet d’...
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Malgré sa dimension universelle, le dégoût n’est assurément pas une des notions centrales de l’histo...
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