Il est une première conclusion que l’on peut tirer sans crainte de la contradiction à l’issue de ces rencontres de Toulouse sur les Facultés de droit de province au XIXe siècle, celle de leur succès. Et il n’est pas vain, dans la perspective de futures réunions, de s’interroger sur les raisons de ce succès, outre le grand nombre de bonnes volontés mobilisées. Elles tiennent à deux équilibres, qui n’étaient pas évidents à trouver. Le premier équilibre procède incontestablement du bon dosage en..