Je voudrais exprimer ici ma vive reconnaissance à Antoine Compagnon, à qui je suis redevable de cette invitation à faire ces quatre cours au Collège de France, dans le droit fil des encouragements qu’il m’a prodigués tout au long de mon travail de traduction, et des lumières qu’il m’a si souvent prêtées pour débrouiller la matière proustienne. J’associe à l’expression de ma gratitude Françoise Leriche, pour les remarques dont elle a fait bénéficier mon manuscrit, ainsi que Fanny Pauthier, pou..