Apart from an eighty-year old French thesis and a recent American survey, Thomas Corneille's theatre has so far received minimal critical attention. While his comedies, derivative though they are, are not widely condemned, his tragedies are said to be complicated and over-sentimental, badly constructed and poorly versified. This thesis attempts to present a truer picture, taking as its basis Thomas' six Roman tragedies, from La Mort de l'empereur Commode (1657) to La Fort d'Annibal (1669) and relating these to his non-Roman plays and to other major tragedies of the period. Study of Timocrate (1656) and comparison with contemporary plays and an earlier tragi-comedy show even this so-called "tragedy" to be coherent and skilfully cons...
Alors que dans la préface du Charme de la voix (1658), Thomas Corneille en attribue l’insuccès à la ...
La pratique de Corneille face à son œuvre imprimée a évolué au cours de sa carrière. Durant la premi...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...
Texte intégral accessible uniquement aux membres de l'Université de LorraineThe first tragedy of Tho...
This dissertation examines Pierre Corneille\u27s indebtedness to a wide range of historical sources ...
La première tragédie de Thomas Corneille, Timocrate a été la plus populaire du XVIIʿ siècle mais son...
The notions of tragedy and comedy that one can intuit from the theater of Corneille are markedly dif...
La poétique théâtrale du XVIIe siècle lie, de manière apparemment naturelle, la « Tragédie » et les ...
Although Corneille drew fame from his tragedies, he launched his career bywriting comedies. Consider...
Dans une série de six tragédies romaines montées à Paris entre 1657 et 1669, Thomas Corneille examin...
Corneille, Thomas (1625-1709) Imprimés à Rouen, et se vendent à Paris, chez A. Covbre…et G. Lvyne......
Rewriting the subjects of tragedies was so common throughout the seventeenth century as to be a defi...
The study entitled : La Dramaturgie de Pierre Corneille dans Médée, is concerned with the issue of b...
Corneille's tragedies enunciate the following paradox: the hero needs recognition to exist as such, ...
University of Minnesota Ph.D. dissertation. June 1920. Major: History. 1 computer file (PDF); 342 pa...
Alors que dans la préface du Charme de la voix (1658), Thomas Corneille en attribue l’insuccès à la ...
La pratique de Corneille face à son œuvre imprimée a évolué au cours de sa carrière. Durant la premi...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...
Texte intégral accessible uniquement aux membres de l'Université de LorraineThe first tragedy of Tho...
This dissertation examines Pierre Corneille\u27s indebtedness to a wide range of historical sources ...
La première tragédie de Thomas Corneille, Timocrate a été la plus populaire du XVIIʿ siècle mais son...
The notions of tragedy and comedy that one can intuit from the theater of Corneille are markedly dif...
La poétique théâtrale du XVIIe siècle lie, de manière apparemment naturelle, la « Tragédie » et les ...
Although Corneille drew fame from his tragedies, he launched his career bywriting comedies. Consider...
Dans une série de six tragédies romaines montées à Paris entre 1657 et 1669, Thomas Corneille examin...
Corneille, Thomas (1625-1709) Imprimés à Rouen, et se vendent à Paris, chez A. Covbre…et G. Lvyne......
Rewriting the subjects of tragedies was so common throughout the seventeenth century as to be a defi...
The study entitled : La Dramaturgie de Pierre Corneille dans Médée, is concerned with the issue of b...
Corneille's tragedies enunciate the following paradox: the hero needs recognition to exist as such, ...
University of Minnesota Ph.D. dissertation. June 1920. Major: History. 1 computer file (PDF); 342 pa...
Alors que dans la préface du Charme de la voix (1658), Thomas Corneille en attribue l’insuccès à la ...
La pratique de Corneille face à son œuvre imprimée a évolué au cours de sa carrière. Durant la premi...
Thomas Corneille (1625-1709), naguère éternel « cadet » du « grand Corneille », mérite qu'on redécou...