Pathological video game use: applying a functional model to the understanding of problematic play

Roughly 8% of adolescents who use video games exhibit pathological video game use (PVGU), a pattern of use of video games resulting in preoccupation with and loss of control over video game play, as well as various negative psychosocial and/or physical consequences. Although research has described PVGU prevalence rates, gender differences, and types of negative outcomes, it has not yet explained why some individuals can play recreationally with limited negative consequences, but others become consumed with the behaviour. Emerging research highlights the importance of functional reinforcement of video game use. Attempting to develop a functional behavioural model for PVGU has yielded promising initial results; however, no established model currently exists from this perspective. The current study proposed and applied a functional behavioural model to the understanding of PVGU. First, a four-function model of video game use was tested for validity, focusing on automatic and social functions of play and positive and negative reinforcement. These functions were then analyzed as possible predictors of negative outcomes of video game use. Differences between users who play primarily online or offline were also examined. Conflict in the parent-child relationship was also examined in relation to pathological outcomes and parent attitudes toward video games. Results supported the proposed functional behavioural model. Controlling for age, gender, SES, and time spent playing, automatic reinforcement was a predictor of pathological outcomes for the entire sample. Social-negative and automatic reinforcement of video game use was a particularly strong predictor for offline gamers. Perceived conflict with parents correlated with social-negative reinforcement of game use. No relationship was found between parent attitudes and family conflict. Overall, the findings support functional reinforcement as a predictor of negative consequences of video game use, and highlights the differences in PVGU between those who play mostly online or offline. Implications for school psychologists are discussed.Environ 8% des adolescents qui utilisent les jeux vidéo présentent consommation pathologique du jeu vidéo (CPJV), marqué par la préoccupation et la perte de contrôle de l'utilisation des jeux vidéo, ainsi que diverses conséquences psychosociales négatives et physiques. La recherche a décrit la prévalence, les différences entre les sexes, et les types de résultats négatifs de CPJV, mais n'a pas encore expliqué pourquoi certaines personnes peuvent jouer sans trop conséquences négatives, mais d'autres deviennent consommée avec les jeux. La recherche met en évidence l'importance du renforcement fonctionnel de l'utilisation des jeux vidéo. Tenter de développer un modèle de renforcement fonctionnel pour CPJV a eu des résultats prometteurs, mais aucun modèle existe actuellement dans cette perspective. Cet étude a proposé et appliqué un modèle de renforcement fonctionnel des jeux vidéo pour améliorer la compréhension de CPJV. Un modèle à quatre fonctions de l'utilisation du jeu vidéo a été examiné pour sa validité, en se concentrant sur les fonctions automatiques et sociaux de jouer, en examinant renforcement positif et négatif. Ces fonctions ont ensuite été analysées comme facteurs prédictifs des résultats négatifs de l'utilisation de jeux vidéo. Les différences entre les utilisateurs qui jouent en ligne ou hors-ligne avant ont également été examinés. Conflit dans la relation parent-enfant a été examiné par rapport aux résultats pathologiques, et aussi par rapport aux attitudes des parents à l'égard des jeux vidéo. Les résultats confirment le modèle comportemental fonctionnelle proposée. Ajustement pour l'âge, le sexe, SSE, et le temps passé à jouer, renforcement automatique était un prédicteur des résultats pathologiques pour l'ensemble de l'échantillon. Renforcement social-négatif et automatique de l'utilisation des jeux vidéo était un prédicteur particulièrement forte pour les joueurs hors-ligne. Perception de conflit avec les parents a corrélé avec le renforcement social-négatif de l'utilisation des jeux. Aucune relation n'a été trouvée entre les attitudes des parents et des conflits familiaux. Les résultats confirment le renforcement fonctionnel est un prédicteur de conséquences négatives de l'utilisation de jeux vidéo, et met en évidence les différences dans CPJV entre ceux qui jouent la plupart du temps en ligne ou hors-ligne. Implications pour les psychologues scolaires sont éxaminées