DNA methylation, and the stress response in the anterior cingulate cortex of abused suicide completers

Suicide is a major health problem in Canada and around the globe. Studies have shown that individuals with a history of childhood abuse are more likely to commit suicide and neurobiological correlates have been identified in these individuals. Some of these biological changes have included over-activity of stress response pathways in the brain such as the neuroendocrine, hypothalamic pituitary adrenal axis (HPA) and connected networks in the prefrontal cortex like the anterior cingulate cortex (ACC), which affect behaviour. Prior investigations have also shown that epigenetic changes in genes that regulate the HPA can be observed in subjects with a history of child abuse. We investigated DNA methylation in regulatory sites of HPA and related genes, including the corticotrophin releasing hormone (CRH) and its receptors 1 and 2 (CRHR1 and CRHR2), arginine vasopressin (AVP), proopiomelanocortin (POMC), and an intergenic region between AVP and oxytocin, in individuals who died by suicide and had histories of child abuse as compared with controls without histories of abuse. Our findings within the ACC have shown no DNA methylation changes in the areas of the genes we examined; however there was an increase in the expression of CRH and a down regulation of its receptor, CRHR1. These results suggest possible HPA perturbations in our cases, but not through methylation changes in the sequences investigated. These results point to the complexity of epigenetic regulation of genes as an interface with the environment and behaviour and further studies are necessary to explore the role of these genes in the prefrontal cortex and how the environment might affect their molecular regulation.Le suicide est un problème de santé majeur au Canada et dans le monde. Des études ont montrés que les personnes aillant une histoire d'abus pendant leur enfance sont plus susceptibles de se suicider et les corrélats neurobiologiques ont été identifiés chez ces individus. Certains de ces changements biologiques ont inclus l’hyperactivité des voies de réponse au stress dans le cerveau comme la neuroendocrine, l'axe hypothalamo - hypophyso - surrénalien (HHS) et les réseaux connectés dans le cortex préfrontal comme le cortex cingulaire antérieur (CCA), qui influent le comportement. Des enquêtes antérieures ont également prouvés que les changements épigénétiques dans les gènes qui régulent la LPD peuvent être observés chez les sujets ayant des histoires de maltraitance durant leurs enfance. Nous avons étudié le méthylation de l'ADN dans des sites de régulation HHS et gènes connexes, y compris l'hormone de libération de la corticotrophine (CRH) et ses récepteurs 1 et 2 (CRHR1 et CRHR2), le vasopressine (AVP) , la proopiomélanocortine (POMC), et une région intergénique entre AVP et l'ocytocine, chez les individus qui se sont suicidés et aillant un historique d'abus d'enfants en les comparant aux contrôles sans antécédent de violence. Nos résultats au sein de l'ACC ont montré aucun changement de méthylation d'ADN dans les domaines des gènes que nous avons examinés; mais il y avait une augmentation de l'expression de la CRH et une régulation à la baisse de son récepteur, CRHR1. Ces résultats suggèrent possibles perturbations HPA dans nos cas, mais ils n'étaient pas causé par des changements de méthylation dans les séquences étudiées. Ces résultats soulignent la complexité de la régulation épigénétique de gènes d'interface avec l'environnement et le comportement; d'autres études sont nécessaires pour explorer le rôle de ces gènes dans le cortex préfrontal et l'influence de l'environnement sur leur régulation moléculaire