The development of a minimally invasive zygoma fracture repair technique

Zygoma fractures are common and may potentially lead to negative aesthetic and functional consequences: cheek asymmetry, ocular globe asymmetry, infra-orbital nerve dysfunction. There has been a significant evolution in the treatment of zygoma fractures, with general transition from older, closed techniques to newer methods that involve greater exposure, more visualized reduction and increased stability of fixation. Little objective data is present to demonstrate the superiority of either technique. It is our hypothesis that each technique has significant disadvantages and the ultimate objective of this thesis was to develop and quantitatively demonstrate the superiority of a novel method of repair.First, we developed a quantitative method of zygoma position evaluation and demonstrated its validity and reliability in a clinical setting. Second, we quantitatively compared the accuracy and complication rates of closed and ORIF methods, demonstrating that although increased exposure improves accuracy, it carries a significant risk of access related complications. Third, we showed that routine orbital floor exploration is not necessary in the majority of zygoma fractures and thus the relatively high-risk incision required to perform it may typically be avoided. Fourth, we developed a c-arm imaging technique that allows for visualization of the zygoma and comparison of its position to the contra-lateral, uninjured side. The accuracy of the technique was shown in a cadaver zygoma fracture model. The technique was modified for clinical use by the addition of an intra-oral incision allowing fracture reduction with the c-arm in-situ as well as miniplate placement in an inconspicuous location. Last, the accuracy of the technique, its low complication profile and practicality were demonstrated in a clinical patient series.Les fractures du zygoma sont communes et peuvent potentiellement mener à desconséquences esthétiques et fonctionnelles négatives: asymétries des joues, globeoculaire asymétrique, nerf infra-orbital dysfonctionnel. Il y a eut une évolutionsignificative dans le traitement des fractures du zygoma, avec une transition générale detechniques plus anciennes et fermées, à de nouvelles méthodes qui impliquent une plusgrande exposition, une réduction plus visualisée et une augmentation de la stabilité defixation. Peu de données objectives sont aujourd’hui présentes qui pourraient démontrerla supériorité de l’une ou de l’autre technique. C’est notre hypothèse que chaquetechnique a des inconvénients importants et l’ultime objectif de cette thèse était dedévelopper et de démontrer de manière quantitative la supériorité d’une méthode deréparation innovante.D’abord, nous avons développé une méthode quantitative d’évaluation de laposition du zygoma et avons démontré sa validité et sa fiabilité dans un cadre médical. Ensecond lieu, nous avons comparé de manière quantitative la précision et les taux decomplications de méthodes fermées et ORIF, démontrant que bien que l’augmentation del’exposition permette d’augmenter le niveau de précision, elle porte un risque importantde complications dues à l’accession. Troisièmement, nous avons démontré quel’exploration routinière du plancher orbital n’est pas nécessaire dans la majorité desfractures du zygoma et donc que l’incision à relativement hauts-risques nécessaire pourl’exécuter peut être généralement évitée. Quatrièmement, nous avons développé unetechnique d’imagerie avec arceau « c-arm » qui permet une visualisation du zygoma etune comparaison de sa position par rapport au côté contra-latéral non blessé. La précisionde la technique a été démontrée sur un modèle cadavérique d’une fracture du zygoma. Latechnique a été modifiée pour son utilisation médicale en y ajoutant une incision intraoralpermettant la réduction de la fracture avec l’arceau « c-arm » in-situ ainsi que leplacement d’une mini plaque a un endroit discret. Enfin, la précision de la technique, sonpeu de risques au niveau des complications et son aspect pratique ont tous été démontrésdans une série de patients médicaux