The structure of the limiting membrane of seminiferous tubules in the rat and monkey.

The limiting membrane of rat and monkey seminiferous tubules was investigated by light and electron microscopy. The myoid layer of the rat limiting membrane in addition to myoid cells, contained cells with a pale staining cytoplasm referred to as light cells. These cells were also observed in the interstitial space and on occasion between the adventitial layer and outer lamella of the limiting membrane. Hence it appeared that some of these cells miqht enter the limiting membrane from the interstitial space. The morphological features of the light cells were such that they could not be classified as monocytes, macrophages or lymphocytes. They did, however, bear resemblance to the granular leucocytes of the epididymis and hence appeared to belong to the same class of cells. The exact identity of these elements remains to be clarified. In whole mounts of rat tubules, light cells were readily identified by their polymorphous, "C"-shaped nucleus. Quantitative studies on these cells revealed that they were a numerous and regular component of the limiting membrane, but that they varies in number during the cycle of the seminiferous epithelium. It also showed that they were capable of dividing and degenerating and that they were sensitive ta X-rays. In the limiting membrane of monkeys, light cells were also present in addition to myoid cells. The distribution of collagen, elastin and microfibrils was also investigated and described.La membrane limitante des tubes séminifères du rat et du singe a été étudiée en microscopie optique et électronique. Chex le rat, au niveau de la couche des cellules myoides, on trouvé des cellules avec un cytoplasme pâle et qui présente certaines caractéristiques des leucocytes. Ces cellules sont présentes dans le tissu conjonctif intertubulaire ou dans l'adventice de la, membrane limitante ce qui suggère un passage de certaines de ces cellules de l'espace intertubulaire dans la membrane limitante. Ces cellules claires ne sont pas les précurseurs dès cellules myoides et ne peuvent être identifiées comme étant des macrophages, des monocytes ou des lymphocytes typiques. Elles ressemblent cependant aux leucocytes agranulaires présents dans l'épithélium épididymaire dont la nature exacte reste à être déterminée. En microscopie optique les cellules claires sont facilement identifiables dans des tubes séminifères disséqués et montés in toto. Une étude quantitative de ces cellules claires nous montre qu'elles sont fréquentes et que leur nombre varie, au cours du cycle de l'épithélium séminifère. De plus ces cellules Se divisent et dégénèrent et par conséquent doivent se renouveler. Elles sont également sensibles aux rayons-X. Chez le singe des cellules claires sont également présentes parmi les cellules myoides de la membrane limitante. Dans cette membrane, la distribution du collagen, de l'élastine et de microfibrilles conjonctives a également été analysée