He dances, she shakes: the possessed mood of nonduality in Buddhist tantric sex

My thesis explores the aesthetic theory and performative expectations of the male and female practitioners in tantric Buddhist sexual rites. My work examines the erotic context of later tantric Buddhist practice as found in Vanaratna's (1384 -1468) fifteenth century Tibetan meditation manual (sadhana) to the rare, erotic form of the goddess Vajravarahi (Adamantine Sow), called Vajravilasini (Adamantine Beauty), entitled Vajravilasini namah Vajravarahi sadhana (The sadhana of Vajravarahi named Vajravilasini). An eighth century poem is preserved in the consort practice section of this sadhana, attributed to the Indian mahasiddha (great accomplished one) Lakrminkara. My study examines this poem in terms of Indian aesthetic theory, rasa theory (lit. taste theory). I argue that antinomian siddha poets, such as Lakrminkara, both employed and transcended the poetic method of rasa theory, initially creating an erotic mood (spngara rasa) in their poems, but ultimately transcending this rasa, to create a specific nondual Buddhist mood, samarasa (lit. one taste), a state of nondualism which is the goal of tantric Buddhism. Beyond the textual analysis of Lakrminkara's poetry, my study examines the ethnographic findings of Syed Jamil Ahmed (2003) and David N. Gellner (1992) on Newar Buddhist tantric ritual in Nepal. In performative sexual contexts of Vajravarahi practice men are expected to dance to show that they have become the male deity, Vajravarahi's consort Cakrasamvara, whereas the women in the ritual, their wives, are required to shake with possession to show that they are Vajravarahi. Samarasa is expressed by the ritual participants through symbolically sexual performances of dance and shaking. Not only must the flavour of samarasa be maintained for correct performance, the presence of the deity must be held through a self-induced state of possession (samavesa), whereby the selves of the human and deity merge. The gendered divergence in performance shows that there are differing levels of agency expected in sexualized ritual settings by men and women. I argue that nonduality is expressed through dual, exaggerated gendered behavior of the dominant male and the passive female, which come together to express nonduality through ritualize union.Ma thèse explore l'esthétique ainsi que les attentes performatives de ceux et celles qui pratiquent le tantra, un rite sexuel Bouddhiste. Ma recherche examine le cote erotique de ce rite récupérer dans le Vanaratna's (1384 -1468) un manuel de méditation Tibétain, examinant la déesse Vajravarahi (Truie Adamantin), aussi connu sous le nom de Vajravilasini (Beauté Adamantin). Ce manuel est aussi connu en tant que le Vajravilasini namah Vajravarahi sadhana (Le sadhana de Vajravarahi connu en tant que Vajravilasini). Un poème datant du huitième siècle est préserver dans ce manuel dans la section de ce sadhana, qui est attribué a l'Indien mahasiddha (celui qui a accompli bien des choses) Lakrminkara. Ma recherche examine ce poème en relation avec la théorie esthétique Indienne, la théorie rasa. Mon argument consiste a expliquer que les poètes qui s'opposaient aux règles du temps, comme Lakrminkara, faisaient usures de (tout en étant au delà de) la théorie rasa. Ceci créa un ambiance érotique (spngara rasa) dans leurs poèmes. En transcendant ce rasa, les poètes créaient une ambiance Bouddhiste, non duel samarasa, c'est-a-dire un état non duel qui est le but ultime du tantra. De plus, ma recherche examine les données ethnographiques de Syed Jamil Ahmed (2003) et de David N. Gellner (1992) concernant les rituels tantriques Newar au Népal. Dans le contexte de la performance du Vajravarahi, les homes sont attendues à danser pour démontrer leur transformation en Cakrasamvara, le consort de Vajravarahi. Les femmes, pour leurs parts, elles doivent trembler violemment pour démontrer leur possession spirituel pour représenter qu'ils sont Vajravarahi. Samarasa est exprimer dans les participants du rituel sexuel symbolique de la dance et du tremblement corporel. Pour que le rituel soit un succès, la présence du déité doit être maintenu à travers la possession corporel (samavesa) lors de l'osmose de l'être humain avec le déité. La divergence sexuelle lors des performances exprime l'existence de différentes niveau d'autorité entre home et femme. Je conclue que la non dualité est exprimé sous forme de performance masculine et féminine exagéré entre l'homme qui domine et la femme qui est passive, qui des lors leur convergence, forment la non dualité sous forme d'union ritualise