Deux tranchées livrent des formations sédimentaires anthropisées. L’une est perforée par une fosse (puits ?) et l’autre livre un peu de mobilier moderne. Elles ont les caractères de sol de jardins. En partie basse, l’une des formations est limitée au sud par un mur de terrasse en pierres sèches qui n’apparait qu’à 1,30 m de profondeur. Ces éléments doivent correspondre à un espace péri-urbain constitué de jardin en terrasse dont le plan cadastral de 1809 montre l’existence au début du XIXe. s. Un chemin indiqué sur ce plan a été probablement atteint dans le sondage le plus bas et le plus au nord à 1,5 m de profondeur. C’est un simple chemin de terre qui livre des fragments de poterie dont certains sont peut-être du bas Moyen Âge et d’autres...