Workplace design contributions to mental health and well-being

People spend much of their waking time in their workplaces (~ 33% on a weekly basis), which raises the possibility that the conditions they experience there influence their health and well-being. The workplace design literature has given scant attention to mental health outcomes, instead focusing on healthy populations. Conversely, the mental health literature gives scant attention to the potential contribution of workplace design in preventing mental health problems nor on facilitating return to work. Taken together, however, the literature does suggest both lines of research and possible interventions. Existing knowledge suggests that workplace design can influence mental health via: light exposure effects on circadian regulation, social behaviour, and affect; aesthetic judgement effects on at-work mood and physical well being and at-home sleep quality; access to nature and recovery from stressful experiences; and, privacy regulation and stimulus control. This paper includes a short review of the in this area, proposals for new research directions, and consideration of the implications of this information on the design choices made by business owners, designers, and facility managers. Providing suitable working conditions for all employees would avoid stigmatizing employees who have mental health problems, while facilitating prevention and return to work among those who do.Les gens passent une partie importante de la semaine (environ 33 %) sur le lieu de travail, ce qui soul\ue8ve la possibilit\ue9 que les conditions qu?ils y vivent influent sur leur sant\ue9 et leur bien-\ueatre. Dans la documentation existante sur la conception des postes de travail, on s?est jusqu?ici peu pench\ue9 sur ses effets sur la sant\ue9 mentale, en s?int\ue9ressant plut\uf4t aux populations jouissant d?une bonne sant\ue9. Par cons\ue9quent, la documentation portant sur la sant\ue9 mentale ne s?int\ue9resse que peu \ue0 l?effet potentiel de la conception des postes de travail sur la pr\ue9vention des probl\ue8mes de sant\ue9 mentale et sur le retour au travail. Toutefois, les textes publi\ue9s sur la question sugg\ue8rent effectivement une double approche dans le cadre de la recherche et des interventions \ue9ventuelles. Les connaissances existantes laissent entendre que la conception des postes de travail peut influer sur la sant\ue9 mentale de diff\ue9rentes fa\ue7ons : les effets de l?exposition \ue0 la lumi\ue8re sur le rythme circadien, les comportements sociaux et l?affect; les effets du jugement esth\ue9tique sur l?humeur au travail et le bien-\ueatre physique, ainsi que sur la qualit\ue9 du sommeil; l?acc\ue8s \ue0 la nature et la r\ue9cup\ue9ration par suite d?exp\ue9riences \ue9prouvantes; et enfin, le contr\uf4le de l?intimit\ue9 et du stimulus. Ce document comprend un bref survol des avanc\ue9es dans ce secteur de recherche, des suggestions de nouvelles avenues \ue0 explorer en la mati\ue8re et une \ue9tude des incidences de cette information sur les choix de conception faits par les propri\ue9taires d?entreprise, les concepteurs et les administrateurs d?installations. Le fait de procurer des conditions de travail ad\ue9quates \ue0 tous les employ\ue9s permettrait d?\ue9viter la stigmatisation de ceux ayant des probl\ue8mes de sant\ue9 mentale, et du m\ueame coup faciliterait leur retour au travail ainsi que la pr\ue9vention.Peer reviewed: YesNRC publication: Ye