Exercised control, lighting choices, and energy use: an office simulation experiment

The belief that individual control leads to beneficial behavioural outcomes underlies many recommendations to install individual controls for workplace lighting, temperature, and ventilation in workplaces. The present experiment compared the work performance and satisfaction of 47 office workers who were given choices concerning workplace lighting (CS) with age- and sex-matched partners (PP) who were given no choices but worked under identical lighting. Preferred luminous conditions were recorded for both groups. Satisfaction with lighting and the work environment were high for both groups, and the majority of participants chose lighting conditions consistent with current codes and standards for lighting, including energy use. CS participants had greater perceived control than PP participants, but there were no differences in satisfaction, mood, performance or health. PP participants' lighting choices, recorded at the end of the day-long session, created less VDT glare than CS choices. Although there was no short-term benefit of perceived control over lighting, it appears that experience with workplace conditions could lead to the ability to reduce unpleasant conditions if choices were available.Nombreuses sont les recommandations visant l'installation de commandes individuelles d'\ue9clairage, de temp\ue9rature et de ventilation dans les lieux de travail, recommandations qui d\ue9coulent de l'hypoth\ue8se selon laquelle l'utilisation de commandes individuelles par les employ\ue9s entra\ueenerait chez ces derniers une am\ue9lioration du comportement. L'exp\ue9rience dont il est question ici visait \ue0 comparer le rendement et la satisfaction au travail de 47 employ\ue9(e)s de bureau qui pouvaient r\ue9gler l'\ue9clairage dans le lieu de travail (CS) \ue0 ceux de partenaires du m\ueame \ue2ge et du m\ueame sexe (PP) qui ne pouvaient r\ue9gler cet \ue9clairage et devaient donc travailler dans des conditions identiques. On a enregistr\ue9 les conditions d'\ue9clairage privil\ue9gi\ue9es par les deux groupes. Chaque groupe a affich\ue9 un degr\ue9 de satisfaction \ue9lev\ue9 concernant l'\ue9clairage et l'environnement de travail, et les participants ont choisi pour la plupart des conditions d'\ue9clairage conformes aux codes et normes actuels en mati\ue8re d'\ue9clairage, y compris les aspects de consommation d'\ue9nergie. Les participants CS ont \ue9prouv\ue9, bien s\ufbr, un sentiment de ma\ueetrise de la situation sup\ue9rieur \ue0 celui des participants PP, mais le degr\ue9 de satisfaction, l'humeur, le rendement et la sant\ue9 ont \ue9t\ue9 pratiquement identiques chez les deux groupes. Les choix d'\ue9clairage des participants PP, not\ue9s \ue0 la fin de la longue journ\ue9e de travail, ont produit moins de reflets aux terminaux \ue0 \ue9cran que ceux des participants CS. Bien qu'il ne semble y avoir aucun avantage \ue0 court terme au sentiment de ma\ueetrise de la situation en ce qui concerne l'\ue9clairage, on peut conclure, \ue0 la lumi\ue8re de cette exp\ue9rience sur les conditions en milieu de travail, que les choix peuvent donner lieu \ue0 une am\ue9lioration de ces conditions.Also presented at American Psychological Association 106th Annual Convention, San Francisco, August 1998.Peer reviewed: YesNRC publication: Ye