(31a) pou voit avec les Mamelouks qu accepter le combat, sans jamais les y forcer ni le prolonger. Un autre fléau dont nous étions travaillés, cétoit une volerie perpétuelle, et organisée de telle sorte qu’aucune rigueur militaire ne pouvoit en défendre nos armes et nos chevaux. Chaque nuit les habitants entroient dans nos camps comme des rats, et en sortoient comme des chauves-souris, emportant presque toujours leur proie. On en avoit surpris qui avoient été sacrifiés au premier mouvement de la rage du soldat : on espéra que cette rigueur feroitquelquesensation; la garde fut doublée; et le jour meme on prit deux des forges de l’artillerie : on saisit les voleurs, qui furent fusillés. Dans la nuit qui suivit cette exécution les chevaux de l...