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( i*4 ) ♦ j Je fis le dessin à vol d oiseau de la presquisle («° 4?planche XV). Je trouvai dans l’embrasure de la porte du château quatre grandes pierres de porphyre d'un verd foncé, et deux pierres longues de granit statuaire le plus compacte ; à la seconde porte, je trouvai, avec quatre autres pierres, un membre d'entablement dorique, portant des tri-- lyphes d’une grande proportion et d’une î ielle exécution : ces fragments, avec quelques traces de substructions à la pointe du rocher, sont les seules antiquités que I aie pu découvrir à Aboukir, dont remplacement n’a jamais pu changer, puisque le sol est une plate-forme calcaire qui s'élève au-dessus de la mer, etnest attachée à la terre que par un isthme tiop étroit pour qu’une ville considérable y ait été bâtie : ce n’a donc jamais pu être que le fort ou le château en merde Ganope ou d'Uéraclée, que Strabon place là ou près de là. J’avois passé devant des fontaines une demi-lieue avant d’arriver à Aboukir; on me vanta leur construc-t ion : j’y retournai ; je 11e trouvai que trois