(7^) sible à guérir, et finit toujours par une mort subite , comme j’ai eu occasion de l’observer bien des fois. On voit beaucoup de hernies de toute espece, singulièrement ombilicales, qu’on abandonne à la nature. Les Egyptiens vivent long-temps avec de telles incommodités , sans se montrer trop gênés, et sans croire qu’il existe des moyens qui pour-roient les soulager : quand on leur en parle, ils répondent Ma cha Allah., (la volonté de Dieu), et les voilà tranquilles et patients ! Quoique le peuple boive l eau du Nil trouble, sans qu’elle soit auparavant reposée, il ne con-noît point ou peu la gravelle ou la pierre. Les hydrocèles sont communes. On ne voit guere les paralysies que dans les »extrémités inférieures, jamais à la suite de l’...