( 55 ) Qu’y a-t-il en effet de plus beau que les premiers aphorismes de la section troisième? et les expériences des modernes ont-elles donné des résultats plus utiles relativement à l’influence des saisons et aux cbangeihents de température sur toutes lek maladies, et principalement sur les épidémies? Nous ne nous sommes permis d’insérer cette remarque qu’en nous proposant de restreindre celles sur les mMadies que nous avons traitées ; elle atteste d’ailleurs d’une maniéré trop évidente la correspondance des içaladies régnantes avec la température de la saison, pour que nous ayons pu la rftrancher. r Tant que les chaleurs ont été fortes, les diverses fievres , les rhumatismes , ainsi que les nombreuses dyssenteries, ont été gastriques bili...